QUETE 2: Plus près de la mort.

en blanc le narratif, en rouge le personnage mysterieux, en bleu la conscience invisible, caspiche?

Le vent sifflait entre les pics enneigés, le ciel, assombrit par les nuages tenres d'automne, semblait s'etendre doucement au dessus des monts.

La force céleste décrut lentement, et le journ à peine couché, nimbait encore de ses derniers feux la vaste plaine.

Une étoile se mit à scintiller dans le ciel, bientôt suivie par d'autres petits diamants.
Une longue cape de brume s'étendit entre les aspérités rocheuses, réduisant la visibilité.

Un murmure semblait envelopper tous les pics, s'insinuer entre les étoiles, voler avec le vent
Viens... Viens à moi
Viens, approche, aventurier, que je t'emmène...

Une sombre silhouette jaillit, presque invisible, inaudible....

Son coeur ne battait pas fort, et pourtant son échos se répercutait dans toute la montagne, entendus seuls par ceux qui le pouvaient.

Je te vois esprit, tu me sens, mais nous ne pouvons influer l'un sur l'autre.

Je me déplaçait, silencieux, et invisible, et pourtant l'esprit ne me quittait pas

je voyais sa pâle ombre me tourner autour

Viens

Le vent apporta quelques bribes de conversation.

La crypte allait être explorée

on était arrivait sur la crypte il faisait plutôt froid la nuit venait de s'installé tout cela n'était pas très rassurant

Le vent soufflait la lumière de nos torches nous éclairait, le ciel était parsemés d’étoiles.

On entendait des murmures indistincts qui provenaient de la crypte :
on s'avançait vers l'entrés on déposa nos torche sur les murs puis on entra.
Il faisait un peu plus chaud qu'a l'extérieur mais les voix ne s’éteignaient pas
un long tunnel le se dessinait vers les profondeurs froides et glacial de la crypte

Un vent glacial s'engouffra dans la crypte
on ne savait pas vraiment ce qu'il fallait chercher mais en tous cas ce qui était sur
C’était que quelque chose ou quelqu'un était dans le souterrain je regardais les autres puis commença a avançait, un escalier glissant se dessinait a la lumière des torches nos ombres se répétait sur les murs
Un second coup de vent s'engouffra et fit éteindre les torches, l’ouverture de la crypte c'était bloqué,



les murmures c'était tut sa en devenait inquiétant ce calme soudain n'était pas rassurant


Quelqu’un n'aurait pas une allumette ?

on ralluma les torches puis on s'assit cinq minutes

je crois qu'on a plus le choix il faut descendre maintenant

Le vent froid s'était engouffré dans la crypte, balayant tout sur son passage, jusqu'à la pâle mais réconfortante lueur des torches.

j'aidais Harrya à en rallumer une, pour distinguer le pâle visage de notre troisième compagnon de route, et le teint livide d'Harrya, visiblement inquiète.

Nous nous assîmes, pour nous expliquer.

-je crois qu'on a plus le choix il faut descendre maintenant, dit Harrya.

Je secouais la tête.

-non! on ne sais rien de cette mission, on ignore ce qu'il faut chercher, et ce que l'on doit faure, je ne bougerais pas à moins d'une explication.

Je jetais un coup d'oeil à notre troisième aventurière, puis les questionnait toutes deux du regard.

-Alors que fait on?

un long silence succèda à ma tirade, il devint évident que ce n'était ni Harrya ni moi qui trancherions.

On t'attends 3e quêteuse, vas y post!!!!

- Alors que fait-on?

Un silence suivit cette remarque. Maëlys ne se sentait pas à l’aise. Elle avait remarqué qu’ils avaient allumé une torche, par la chaleur, mais de toute façon pour elle cela ne représentait rien. Avec ou sans lumière, elle restait dans le noir. Aveugle. Apparemment, ces compagnes de fortune étaient indécises. Et l’Ange sentit qu’il fallait qu’elle fasse quelque chose. Elle envoya une onde pour scruter la crypte. Franchement, c’étais trop stupide de s’être laissé enfermer dans cette caverne. Encore plus stupide que de s’être entraîné dans cette mission. Les ondes revinrent peu à peu. Bon, il y avait un autre chemin.

*Mais, qu’est-ce que c’est que cela… ? *

Il y avait autre chose. De dangereux. Maëlys jeta un coup d’œil aux jeunes filles qui l’accompagnaient. Mieux ne valait pas les inquiéter. Elle commençait à avoir une idée sur le pourquoi de leur venue ici, mais ne préférait pas en informer ces camarades, elles étaient bien assez nerveuses comme ça et l’apprendraient bien assez vite. En tout cas, si c’étais ce qu’elle pensait, être trois ne serait pas être de trop. Elle se leva.

« - Je crois qu’il y a un autre chemin, pour que l’on puisse sortir.Je ne sais pas vous, mais moi je n’ai pas envie de moisir ici. »

Et sans attendre de réponse, elle s’avança dans l’obscurité, sachant pertinemment que les autres la suivrait, de toute manière, elles n’avaient pas le choix, si elle voulaient sortir d’ici vivante.


Et voila, la troisieme, c'est moi, pas trop decus ?

une sombre brume s'engouffre dans les tunnels, les trois aventurières furent aveuglées.
Seule Maëlys n'en fut pas trop affectée.

je voyais ces jenes demoiselles perdues, savaient elles qu'elles risquaient leur vies?
L'Esprit ne me faisait rien, mais ce n'est pas le cas pour elles.

Que faire, les prévenir? les Aider?

Non! L'Esprit est mon allier, je dois observer, et attendre.

La brume sombre acheva de les perdres. Une longue râle fit sursauter Maëlys, celle qui avait la meilleur ouïe.
Leurs sens se brouillent, le froid et la chaleur les entourent.

Un petit murmure, presque inaudible, tandis que dans ce tumultueux cauchemard un chemin se fraye.
Un chemin éclairé par de petites flammes bleues.

Viens....
Viens à moi, aventurier.
Je suis la montagne.
Tu ne peux m'échapper.

Le jour se lève, dehors, mais aucune des aventurières, au plus profond de la crypte, ne peut l'entrevoir.

désolée pas très long...

Je vis la première les petites lumières qui ornaient la route. Je les désignais à Harrya.

-A ton avis, il faut les suivres?

Le vent glacé se fraya un passage dans les couloirs, une présence, je ressentais une présence. Et une petite voix résonnait dans mon esprit.

Viens....
Viens à moi, aventurier.
Je suis la montagne.
Tu ne peux m'échapper.

Je me raidis. Mes muscles se crispèrent, et un petit cris s'échappa de mes lèvres, je commençais à avoir peur. Je réspirais profondément, tentant vainement de me calmer.

Je jetais un coup d'oeil dans mon sac, et attrappait mon arc, en deux-trois mouvements précis le montais et accrochait le carquois à ma ceinture.

-je serais de taille à me défendre. commentais je à mi voix.

je ne savais plus ce qu'il fallait faire tu se bousculait dans ma tête j'était perdue

les lumiére dessinaient le chemin a suivre ,Marysa avait sorti sont arc
je ne savai pas se qui se passais,c'était trés étrange .Maëlys avais suivi les lumiéres
nous étions encore dans la crypte et visiblement quelque chose se passait mais je n'entendais rien
je regardait Marysa

mais que ce passait -il ?


je serais de taille à me défendre murmura t-elle

hein ? qu'est ce qui se passe ? je crois qu'on devrai suivre aussi les lumiéres

Spoiler:

-Je serai de taille à me défendre murmura Marysa…

Maëlys sourit. Sa cécité lui permettait de voir et de ressentir des choses que les êtres humains ne percevaient pas. Et le fait qu’il y ait de la brume dans cette caverne, suivi de lumière qui étais miraculeusement apparue, ne semblait pas étonner ses camarades, et ne leur avait fait pas comprendre la nature du danger.
Dès qu’elle avait senti le contact de la brume, Maelys s’étais arrêtée net.

* De la brume dans une caverne ? *

Puis, il y avait eu ce râle, elle n’étais pas sûre que les autres l’ait entendu mais il lui avait fait froid dans le dos. Froid et chaud. Ses sens se brouillerent. Elle ne pouvait plus compter sur son toucher. Elle avait juré interieurement. Ensuite, cette voix résonner dans sa tête, et elle ne l’avait pas entendu, elle l’avait juste sentie résonner dans sa tête. Une voix glaciale, promesse de mort. Elle avait alors rebrousse chemin et étais arrivé au moment où Marysa prononçait ces paroles.

- Hein ? Qu’est-ce qui se passe ? Je crois qu’on devrait aussi suivre les lumières.

* Quoi ! Mais c’est se jeter dans la gueule du loup ! Bon j’admets qu’il n’y a pas d’autre issue, mais il faut y aller prudemment, en ayant conscience des risques. *

Il fallait qu’elle intervienne.

« - Se serait une grave erreur de se précipiter sur le danger sans savoir à quel point il est dangereux. »

Sa voix avait été ferme et sérieuse. Faisant sursauter les deux jeunes femmes.

« - Il y a d’abord eu cette brume étrange qui ne vous a pas dérangé plus que cela, puis cette lumière apparue comme par magie, ce râle effrayant et cette voix télépathique, qui ne provenait pas de nous. Nous ne sommes pas seul, peut-être avec un esprit ou un démon. Peut-être qu’avec une personne ou plusieurs. Et enfin, ne pas sentir l’atmosphère oppressante de mauvaise onde est un miracle. Nous n’avons pas d’autre choix, donc nous emprunterons ces chemins, mais pas a l’aveugle. Toutes vos capacités devront vous servir et vous devriez toujours été prête à attaque ou a être attaque. »

Elle baissa la tête vers elles les fixant de son regard translucide et inexpressif. Toutefois l’expression de son visage était suffisante. Elle ne se laisserai pas manipuler par quelque entité que se soit.

« - Je ne sais pas vous, mais moi j’ai envie de ressortir vivante de cette grotte maléfique, alors pas de chose inconsidérée. Alors allons-y, mais rester sur vos gardes et méfier vous de tout ! Dès qu’ils se passent quelque chose d’anormal, prévenez immédiatement les autres. »

Les aventurières, comme poussées par une puissance invisible, empruntèrent le chemin éclairé.
Toutes, les unes à la suite des autres. Seule la jeune ange aveugle semblait percevoir une infime part du danger.

je vais les suivre, elles ne sont pas en sécurité, mais pourquoi sont elles venues ici, elles ignorent donc la vieille légende, ou ont elles décidé de prouver qu'elle n'existait pas? Je sentis l'excitation gagner l'esprit, il touchait au but, s'il parvenait à réaliser son projet, il serai libre, mais seules deux des aventurières ressortiraient de ces lieux, la troisième .... Non il faut que je les suive.

ne t'inquiète pas mon ami... Je serais libre... Libre....

Je ne m'inquiète pas.

Le vent s'engouffra à nouveau dans la caverne un vent, tiède et nauséeux, à mesure que les aventurières avançaient, une douce chaleur se répandait dans leur corps, et leur coeurs pour empoisonner peu à peu leur esprit.

La conscience de la montagne les attirait, tentait de les dominer, de les rebiffer les unes contre les autres. Pour les séparer.
Pour les enchaîner.

Pour sa liberté.

Viens à moi, Maëlys, petit ange déchu, rejoins moi
Entends ma voix, suis là.

Maëlys sentit sa volonté fléchir, elle sentit une vague envahir son corps, une onde de puissance, une onde qui s'acharnait à percer ses défences. Insidieuse la vague se fraya dans ses failles, s'engouffra dans la moindre des inserctices de son âme. Pour la posséder, pour l'éloigner.

La faire disparaître dans les ténèbres.

Harrya vit des images apparaître devant ses yeux, paysages envôutants, un air pur semblait emplir ses poumons, et une petite mélodie trottait dans sa tête.

Viens, Harrya,
Cède....
Rejoins moi.

La voix, Harrya la connaissait bien, c'étais celle, tendre de sa mère. Celle qu'elle désirait entendre.

Marysa Sursauta, lorsqu'une main se posa sur son épaule. Elle se retourna toujours armée. Un jeune homme qu'elle connaissait bien lui faisait face.

Viens, Marysa, Rejoins la montagne. lui souffla t'il

la jeune fille sentit son esprit tenter de la prévenir du danger....

Quel danger?

Sans qu'elles s'en appreçoivent, les brumes sombres les happèrent, les séparèrent.

Elles étaient seules.

Elles et la montagne.

L'ange est la plus forte, elle cèdera plus difficilement

ne sous estime pas la fée...

Et l'humaine?

Je n'en sais rien, jeune homme....

Un souffle, précédant un murmure.

Viens à moi, Maëlys, petit ange déchu, rejoins- moi
Entends ma voix, suis là.

Une vague. Il n’y avait pas d’autre mot pour décrire ce qui lui arrivait. Elle sentait la puissance. Un sourire mauvais naquit sur son visage alors que le raz-de-marée prenait possession des moindres parcelles de son corps. Sans s’en rendre vraiment compte, elle quitta ses amis. D’ailleurs, avait-elle vraiment conscience qu’elles étaient encore là ? Elle était puissante, PUISSANTE, rien d’autre ne lui importe…Elle avait le pouvoir…

* Eh, attends une minute ! Depuis quand j’ai besoin de pouvoir moi? *

Changement. Résistance.

* Je n’ai pas besoin de pouvoir. Pourquoi en aurait besoin? Je ne cherche pas à contrôler le monde, ni pour le chaos ni pour l’harmonie, je ne sers que mes propres intérêts, et pour cela, je n’ai pas besoin du pouvoir d’un sale esprit de montagne éprit de liberté. *

Vent contraire. Mobilisant sa volonté. Maëlys cherche à se soustraire à cette force.

* Il ne faut pas que je me laisse faire, j’ai un mauvais pressentiment, où sont les autres ? Punaise, si elles se sont laissé prendre, je ne donne pas cher de notre peau… J’ai été trop bête… Trop insouciante…*

Elle ne dit rien. Il fallait qu’elle trouve la nature de l’attaque pour pouvoir la contrer… Mais impossible, la vague est trop sorte, on ne gagne pas contre la nature… L’ange se laisse doucement emporter, sombrer dans la vague. Quand, un bruit. Un murmure…Malgré l’humidité, qui la prévint d’une brume épaisse autour d’elle, ainsi que le brouillard dans sa tête, Maëlys reconnaît Marysa. Elle n’entend pas c’est parole. Que se passe-t-il ?

* Le mieux, c’est de ne penser à rien, laissez faire, ma vie est finie, à quoi bon ?

Souvenir…

Un visage, en pleure « Je t’aime ma chérie, sois forte ! »

Des images de la passe lui passe sous ses yeux. Puis le visage de ses compagnes et amies. Amies ? A-t-elle seulement eu des amis ? Ensuite, remontant le cours de sa vie, d’autre visage, d’autre parole...

« Je serai de taille à me défendre… »

« Je ne sais pas vous, mais j’ai envie de sortir vivante de cette grotte maléfique… »

Et enfin, cette voix... Viens à moi, petit ange déchu… »

* Déchu ? Je ne suis pas un ange déchu…. *

Un souffle, nouveau, contraire… Révolte.

* Et depuis quand je peux voir les couleurs et les visages des autres ? *

Un vent pour contrer la marée, une nouvelle volonté. Une volonté inhumaine.

* Je ne suis pas un ange déchu esprit démoniaque, depuis quand la couleur fait-elle le personnage ?

La montagne ne se laisse pas faire. Riposte.

* Je ne laisserai personne influencer sur ma vie. ! Je suis seule maîtresse de moi-meme ! Je ne me laisserai pas faire, parce que je ne veux décevoir personne ! *

Un ton ferme, tranchant, irrévocable. La volonté s’affermit, l’emprise rétrécit. Après un combat acharne, l’aveugle glisse au sol. Epuisée, vidée. Mais libre. Elle sent son esprit s’éclaircir, ses fantômes disparaissent. La brume semble aussi avoir disparu. Maëlys est seule et libre. Une pensée lui vint alors, que sont devenues les autres ?

(je précise j'ai l'accord de notre petite fée pour ça)

Il faut l'écarter.

L'esprit avait désigné Marysa de son doigt diaphane.

Je m'approchais d'elle, et me glissais derrière.
Mais qu'est ce que je fais?
Je me glisse sans bruit, elle ne me perçoit qu'au dernier moment.

Lame feutrée, blessure béante.

Je l'avais tuée.

La brume se dispersa
sans bruits.

Elle étaient dans une vaste salle pleine d'ombres mouvantes et illumiées par des milliers de lucioles voletant.

Une forme diaphane leur faisait face.


Venez à moi

Un bruit. Un bruit sourd. Comme un corps tombant a terre.

* Que se passe-t-il ? *

Malgré elle, elle commençait à paniquer, quel était le but de cette quête, quel était cet esprit ? La peur remplaça sa confiance en elle, si l’esprit attaquait à nouveau, elle ne pourrait plus lui résister, mais pourquoi ?Elle tenta d’envoyer une onde, mais les frissons qui la parcouraient l’en empêchèrent, elle du se résoudre à crier. Et son cri résonna dans la vaste caverne où elle se trouvait. Elle cria.Un long cri de peur, de désespoir résonnant sur les parois, se répercutant en écho dans son corps, dans son âme. Elle ne pouvait rien faire. Rien. Elle se tu. Son cri mourut petit a petit au fur et a mesure que l’écho se taisait. Elle tomba à genou, ses mains s’écorchant sur le sol râpeux. Elle pensait devenir folle. Elle n ‘avais jamais eu peur. Malgré sa cécité, elle n’avait jamais eu peur. Elle savait qu’elle pouvait toujours s’en sortir, elle n’avait eu peur, ni ressenti cette crainte. Que lui arrivait-il ? Ce froid. Quelqu’un arrivait. Pourtant tout étais silencieux. Son mal être s’accentua, il fallait qu’elle se reprenne. Elle se releva, les paumes en feues, saignantes, les jambes tremblantes.Mais où était donc passe son courage, sa force sa volonté ? Aurai-il un piège dans le piège ? L’avait-il eut malgré tout ? Sa retraite était-elle feinte ? Elle ne savait pas.Elle était pétrifiée. Par quoi ?

« Froid, ai froid… »

Un gémissement. Un souffle. Mais vrai. Il faisait froid. Et elles n’étaient pas seules. Elles ? Mais ?

* Comment je peux savoir que l’on est a deux. *

Une seule solution, l’esprit la contrôlait et jouait avec elle. Il apparut. Le froid se fit plus intense et l’apparition de l’esprit lui ôta ses dernières ressources de courage. Elle tomba à nouveau au sol. Mais cette fois-ci, son sang tapissiat le sol. Elle saignait ?

* Mais comment ? *

Venez à moi

Elle ne pouvait plus bouger, la douleur l’avait immobilisée, mais qui ? quand ? Elle soupira, le froid l’envahit. C’étais la fin.

je voyais toujours les même images dans sa tête et la mélodie qu'elle entendait aussi
Soudain tout s'arrêta un bruit sourd retentit
un vent glacial la fit ,je frissonnais ,je m'aperçus que j'était seule dehors
j'entendis un cri, je sursautai et me retournai, la peur s'empara de moi,
je tremblais je revint a mon point de départ
j'hésitais a retourner a l’interrieur, mais sans aucun doute le bruit venait de la caverne,
j'esseyaer de me persuader d'y aller

*qu'est ce que je fait ,j'y vais ou j'y vais pas ? aller tu ne vas pas te dégonfler qu'est ce que je risque aprés tout ? Rien bon j'y vais *

prudemment j'entra dans la caverne et je fut soulager de découvrir Maëlys qui était a genou elle semblait désespéré

*je me demande bien ce qui s'est passée ici, quel est le but de cette quête ?*

je posais des questions beaucoup trop, je n'avais pas vu le corp au côté de Maëlys
je m'avença vers elle puis c'esta cette instant que je le vit ,

*non ce n'est pas vrai elle ne peut pas être ... *le mot resta bloqué en moi

des Flash me revenait en mémoire comme un film au ralenti

premier FLASH : j’avais 5 ans , j'étais avec mes parents chez moi on rigolait j'étais heureuse
deuxième FLASH : j'avais 10 ans il neige dehors on était prés du feu la vie était belle
Troisième FLASH : 14 ans je rentrais chez moi découvrant mes parents morts

Une larme coula sur mes joues le souvenir était trop douloureux, pour oublié

que c’est-il passait ? demandai je dans un échos

Spoiler:

(deux ans après la quête renaît de ses cendres)

L'ange semblait être mal, mais que puis je faire?
J'ai tué son amie.
Parce qu'elle me l'a demandé.
Mais qui elle?
L'Esprit?
Je suis sa Lame?
Non...
Non, ne pas le laisser me commader.

Si. Tu es sa lame, celui qui exécute sa volonté.

Non. Ne pas...

Une ombre s'approcha des deux êtres, des deux aventurières encore en vie.

Pourquoi est ce que je m'approche? L'Esprit m'a dit de rester dans l'ombre.

Brève hésitation.

Non, pour une fois fais ce que tu désire.

Je m'approchais encore, L'Ange et la fée me virent.

Un sursaut. Un regard vers l'Ange.


- tuez moi

Un cri.

Le sort étais rompu.

Non!

(Hj : 4 ans après, les joueurs répondent enfin.... ^^')

La fin... Mourir. Froid. Sommeil. La montagne avait gagné. Tout comme la flèche qui avait emporté son père, la tristesse sa mère et le feu sa famille. Le vent, la pluie, le feu. Il ne manquait plus la terre. La terre, pour elle. Elle ne sentait plus rien. Se manifesta alors une partie de son être, caché, dissimulé, retenu. Mais elle ne pouvait plus le battre. Trop faible. Faible ? Le démon rit à ce mot, il n'allait pas ce faire avoir. Pas encore. Pas par cette montagne. il prit le contrôle et en un rien de temps, fit voler l'emprise de l'Esprit maléfique. Maëlys crut sentir une surprise venant de celui-ci. C'est alors qu'elle prit la parole. D'une voix forte, puissante, menaçante.

" Montre toi Esprit, tu ne me fais pas peur ! "

Une force nouvelle courrait dans les veines de l'Ange, devenue Démon. Elle ressentait tout avec une précision que son état normal n'aurait pas permis. Elle eut un sourire machiavélique, elle n'avait plus peur de rien. Elle aurait voulu crier au monde entier, mais... Une présence. Là. Toute près. Elle se rapproche. Doucement. Dangereusement. Le Démon fit volte-face. Un assassin. Aucun doute. Costume, arme. Un sourire. De l'action. Enfin ! Deux dagues apparurent dans ses mains. Comme par magie. Elle était prête. Elle attendait. L'assassin avançait toujours. Interloquée, Maëlys ne suis plus. Elle lève la tête vers son visage. Peut-être la regarde même t-elle dans les yeux. Mais Maëlys ne le saura jamais. Ce sont des détails qui lui échappe, comme de nombreux autres. Un regard. Un mot. Un murmure.

- Tuez-moi.

Un cri. Silencieux mais tellement bruyant. Par réflexe, le Démon porte ses mains à ses oreilles. Cela ne sert à rien. Le cri résonne de l'intérieur. Un écho de douleur, de rage. Une interrogation naît dans l'esprit du Démon. Que c'est-il passé ? Elle reporta alors son attention sur l'ombre. Comme un serpent, elle se rapproche d'elle, mais d'un démarche si fluide qu'on dirait qu'elle glisse. Elle arrive au niveau de l'ombre.

" Je vais te tuer, mais d'abord, tu vas m'expliquer ce qui se passe ici. "

Pas d'hésitation dans sa voix. Juste de la volonté. Elle ne changerait pas d'avis. Complètement absorbé par sa tâche, le Démon avait oublié la présence de l'humaine.

(ouep trois siécle aprés désolé si c'est un peu court)

Tout est flou dans ma tête il me semble que je ne me contrôle plus, la peur m'envahie
des voix résonne mais c'est comme si je les entend a peine, serai ce la fin ?
est ce que je vais mourrir aussi ? je n'en sais rien la seul chose que je sais c'est que je tremble de peur
me yeux son flou des larmes continuent de couler.
la peur me fais oublier ce que je suis venue faire ici ,mais en réalité je ne le savais même pas
je distingue un ombre un murmure ,
je suis tellement fatigué , tout oublié c'est la seul solution
mon coeur et prés à exploser, tellemnt il bats fort ,je titube
puis m'ecroule contre le sol .
l'oublie c'est tellement facile , J’ignore si j’aurai assez de courage mais il est temps de faire table rase de tout