Naïa Niils Elendir

Prénom(s) : Naïa
Nom(s) : Niils Elendir
Age humain : 27 ans
Race : Demi-elfe
Job : Voleuse à son compte
Signe Particulier : Une fine cicatrice orne le haut de son dos, de sa nuque à son flan gauche, souvenir d’un combat particulièrement rude…
Camp : mitigée entre l’ordre et le chaos

Apparence
Son corps est gracieux tel celui du chat se mouvant dans la nuit. Finement musclée, le teint marmoréen, cela fait d’elle une beauté que les hommes remarquent, à son grand désespoir.
Lorsqu’elle marche, droite, posée, confiante, elle inspire le respect et l’admiration, bien qu’elle soit à l’affût en permanence.
Elle est toute vêtue de sombre : ses poignés entourés de bandelettes de cuir, son pantalon de cuir également, ses souples épaulettes, son épée elfique élégamment posée contre son dos…

Sa mine tout aussi sombre traduit sa tristesse passée, enfouie dans les profondeurs de son cœur encore fragile. Ses yeux chocolat apparaissent froids comme le vent l’hiver, et il nous est impossible de la déchiffrer à travers son regard. Son nez fin et ses lèvres délicatement rosées ornent son visage, autour duquel reposent de fines mèches couleur châtain foncé. Ses petites oreilles pointues rappellent son côté elfique, bien que ses yeux soient tout à fait humains. Ses joues légèrement creusées évoquent ses longs voyages ainsi que sa tenue conçue pour sa souplesse et son besoin de discrétion.

Histoire
Pour mieux comprendre l’histoire de Naïa, il nous faut revenir loin, très loin dans le passé :
(Forêt d’Ymir)
"Un homme court entre les arbres, se cogne, tombe, se relève, continue à courir, encore et encore.
Des elfes le poursuivent. Il trébuche, fatigue, et sent le peu d’espoir qui lui restait s’envoler, tel la dernière feuille au début de l’hiver. Il entend des pas feutré, prend peur, accélère.
Quand soudain, il tombe.
Une main se pose sur son épaule, le redresse.
L’homme ferme les yeux, attend venir un coup, tremble de tous ses membres.
« Suis-nous. » Les belles créatures l’entourent, et ainsi avance l’étrange défilé.
« Tu n’aurais jamais dû pénétrer sans autorisation notre cité elfique, jeune homme.
-J’ignorais où je me trouvais, seigneur elfe.
- La raison n’est pas valable pour enfreindre une loi datant de plusieurs siècles.» "


Les elfes le conduisirent à leur supérieur, du nom d’Elendir. L’homme, Kyl Niils, qui n’est autre que le grand-père maternel de Naïa, fut renvoyé chez lui, après 10 ans d’exil.

Ainsi débuta le conflit sans fin entre la famille de Kyl Niils et la famille de l’elfe Elendir.

Le fils de celui-ci, Elianor Elendir, devint un merveilleux épéiste, ainsi qu’un archer de très bon niveau. Il s’engagea pour défendre Sayandra, la cité des elfes.
La fille de Kyl, Gary Niils, magicienne de l’eau, parcourut les différentes contrées en quête d’aventure.

Gary osa pénétrer la forêt d’Ymir à une vingtaine d’années, et entreprit d’en voir toutes les beautés. Elle ne voyageait pas pour l’or, mais pour le plaisir de découvrir le monde qui l’entourait.
Les années passaient et elle osait s’enfoncer de plus en plus loin dans l’étrange lieu.

Un beau crépuscule de printemps, Elianor patrouillait à 500 mètres autour de l’immense cité des elfes, lorsqu’une voix mélodieuse arriva à son oreille fine. Il se mit en position de tir, son arc levé devant lui, et attendit.

Une jeune femme d’une beauté aveuglante arrivait devant lui, gaie insouciante. Il cligna des yeux (ce qui est peu commun aux elfes).
Lorsqu’elle le vit, sa chanson s’arrêta, son écho s’évanouit dans les profondeurs crépusculaires, et elle lui sourit (pas à l’écho, à Elianor, hein).
Abasourdit, il baissa son arc involontairement, et se prit ne gerbe d’eau fraîche du ruisseau le plus proche à la figure.
S’ensuivit un combat amical, les deux jeunes gens ne cherchant pas à nuire à leur adversaire.
La magie de l’eau contre l’arc et l’épée faisaient un combat d’une originalité peu connue, d’une élégance indicible, d’une beauté étincelante.
Puis, essoufflés, ils s’arrêtèrent, s’assirent, l’un en face de l’autre, en paix.
« J’aurais sûrement dû vous mener à mon chef.
- Vous n’auriez pas osé, monsieur l’elfe.
- Ou bien vous tuez sans hésiter !
- Vous n’auriez pas réussi.
- Je n’aurais jamais dû baisser la garde.
- Je me serais bien moins amusée.
- Mais le combat était fort bien intéressant, jeune dame.
- C’était un plaisir. »
La discussion allait bon train, et bientôt ils durent se séparer, en se promettant de se revoir.
Elianor Elendir et Gary Niils venaient de tomber amoureux l’un de l’autre.

Bientôt ils durent en avertir leurs familles respectives.
Le choc fut brutal pour les Niils et les Elendir entre lesquels la haine perdurait. Ils bannirent Gary et Elianor de leurs logis, de leurs pays, de leurs familles.
Les deux jeunes gens avaient alors une trentaine d’années humaines.

5 ans plus tard naquit Naïa, dans une bourgade fortifiée des plaines d’Ûr.
Elle grandit, enfant dynamique et échevelée, épanouie et heureuse, sans frères ni sœurs.
Sa mère avait cessé, depuis sa naissance, ses voyages pour veiller sur elle, usant de ses pouvoirs magiques au profit de sa vie de mère au foyer.
Son père, quant à lui, s’engagea en tant que guerrier de la garnison royale de Deliassor, et ses incessantes absences firent de lui un inconnu aux yeux de Naïa.
Gary tomba gravement malade alors que Naïa n’avait que 10 ans. Elle s’occupa de sa mère, encore et encore. Elianor fut porté disparut peu de temps après le début de la maladie. La vie merveilleuse de Naïa prit fin, emportant avec elle son enfance. L’adolescente précoce n’avait pas beaucoup d’amis, et ne voyait pas beaucoup la nature qui lui manquait tant. Elle restait chaque soir au chevet de sa mère et passait ses journées à faire les corvées de la maison et chercher de quoi la soigner.
Gary Elendir mourut à une cinquantaine d’années.
Naïa demeura dans la maison de son enfance, totalement seule, et sans aucune connaissance du monde alentour à son village.
Lors de sa 16ème année, elle prit son envol et se mit à voyager, à repousser chaque fois les limites de ses connaissances.
Elle rencontra bon nombres de gens et rapidement fut dégoutée des injustices du monde, de ses lois, des Hommes.
La nuit lui était préférable, et elle commença ses vols, progressivement, tout en « justice », selon elle (voir caractère).
Sur les toits, elle rencontra des voleurs de la Guilde, qui lui apprirent bon nombre de choses.
Aujourd’hui Naïa Niils Elendir est une jeune demie-elfe de 27 années humaines en quête d’aventures, de combats, de rencontres.

Caractère
Sa solitude prématurée est restée en elle, ce qui explique le peu d’amis qu’elle se soit fait durant sa jeunesse.
Elle est débrouillarde, autonome, et n’accepte d’avoir ni maître ni patron. Elle est très méfiante des Hommes et, bien qu’elle soit modeste, n’a confiance qu’en elle.
La nature lui ait havre de paix, elle la préfère au monde des Hommes qu’elle trouve injustes et inégaux.
Elle vole dans l’intérêt de rétablir cet équilibre où n’existerait pas plus de pauvres que de riches (elle vole essentiellement ceux-ci, et espèrent changer leur vision du monde), et rend justice elle-même à travers ses vols.
Il arrive qu’une flamme intense s’allume dans ses yeux, réchauffant son regard glacé. Mais ceci n’arrive que lors de colères monstrueuses, où son côté chaotique ressort avec beaucoup (et sûrement trop) d’ardeur.
Elle ne se sent pas concernée par les litiges de ses grands-parents.
Elle est de nature diplomate, bien qu’elle s’énerve rapidement.
Elle est très peu patiente, à part en ce qui concerne la croissance d’un arbre…

Pouvoirs: Elle a hérité de quelques pouvoirs de la magie de l’eau, venant de sa mère. Elle peut respirer sous l’eau, la modeler, l’appeler, mais c’est tout. Elle est nyctalope, comme son père.

Capacités: Elle est maîtresse dans tous les arts liés au vol, excellente en escalade (mais pas autant qu’un(e) marchombre).
Elle manie les lames avec dextérité et maîtrise, mais n’est pas un assassin.

Philosophie de vie: « Si je pouvait modeler le monde à ma manière, il y aurait beaucoup moins d’injustices sur terre. »

Armes de prédilection: poignards, couteaux, dagues, épées. (Elle n’utilise pas de sabre)
[i]

on va te trouver un truc biiiien tordu !

Alors, tu es à la lisière de la forêt d'Ymir, un matin, tu te réveilles doucement après avoir campé là. L'ennui, c'est que tu ne peux pas te relever, y'a un couteau sur ta gorge tenu par une main d'homme. Qu'est ce que tu fais? Sans compter que l'homme répond qu'il est un cueilleur de pâquerettes avec sourire bizarre...
Allez, j'ai hâte de voir ça xD

Ok pour le défi (grrrrrr !!!!), mais je dois faire combien de lignes minimum ?

oui entre 25 et trente (et oublie pas qu'il te faut un avat xD)

Edit de la Maîtresse de la Fantaisie =D : j'suis d'accord avec Mei !

ok, ok !!

J'ai déjà commencé ... !!! Niark!!

Je me suis trouvé un avatar mais il faut que je le travaille !!
et que le poste ^^ mais je suis pas douée dans ce domaine !!

Au fait c'est quoi les dimensions pour l'avatar et la signature ???

l'avatar c'est maximum 250 de hauteur et 150 de largeur, pour ne pas que ça déforme le forum. Tu peux donc faire un carré si ça te chante xD
Pour la signature, longueur maximum de 600 et hauteur de 450.
Et bon courage pour le test

bienvenue

Bienvenue !! J'ai hâte de lire ton défi !!!!

Défi

Naïa s’éveillait paisiblement. Elle ouvrit les yeux, pour les refermer aussitôt. Un homme se tenait au-dessus d’elle, tenant un couteau contre sa gorge. À ce moment la lame commença à s’enfoncer progressivement et Naïa étouffa un cri. Cela faisait bien dix ans qu’elle ne s’était pas fait piégée dans son sommeil, et la jeune demie-elfe se demandait comment l’homme avait-il pu parvenir jusqu’à elle vivant et entier.
La douleur la sortit de ses réflexions. Elle ouvrit les yeux pour mieux observer l’homme qui se tenait au-dessus d’elle. Un frisson la parcourut lorsqu’elle découvrit un regard fou et un sourire tordu dans un ricanement sinistre.
Elle rebaissa les yeux, regarda son corps, solidement attaché par de solides cordes. Comment était-il parvenu à l’attacher sans qu’elle se réveille ?
L’homme se mit à parler, bien qu’il sembla s’adresser à lui-même :
« Je suis un cueilleur de pâquerettes, hu hu ! » Puis repartit de son ricanement sans fin.
Naïa ferma les yeux et chassa tant bien que mal de son esprit la douleur causée par la lame, heureusement non empoisonnée.
Elle se mit à réfléchir du meilleur moyen pour elle de ne pas mourir par la main d’un fou cueilleur de pâquerettes…
Elle savait qu’une de ses lames était à sa ceinture, donc facile à attraper, mais elle craignait que l’homme la voie bouger…
Quand soudain lui vint une idée : l’Eau.
Elle écouta les alentours, guettant le moindre bruit d’un ruisseau quelconque. Mais les ricanements incessants de son agresseur et les battements affolés de son cœur l’en empêchaient, malgré son ouïe fine.
Elle se concentra, et appela l’Eau à venir à elle, tout en priant pour que l’homme n’y fasse pas attention.
C’est avec soulagement qu’elle sentit son alliée de toujours arriver à son campement. Elle fit une fois de plus appel à sa magie pour la modeler, et l’eau l’entoura, l’engloba dans une bulle géante la contenant toute entière. Les gouttelettes de sang de son cou s’y dissolvaient, et le couteau du fou était maintenant dans l’eau. Naïa se mit à respirer grâce à son pouvoir, appela l’élément à se placer entre le couteau de son agresseur et sa plaie de plus en plus douloureuse.
Elle s’efforça, avec toute l’énergie qui lui restait, de s’appuyer sur l’eau pour repoussait le couteau, bien que la douleur intense qui en résultait augmentait l’effort qu’elle devait fournir.
Au bord de l’évanouissement, le couteau se décolla, laissant un jet de sang derrière lui.
L’homme cessa soudainement de ricaner et la regarda, souriant toujours aussi stupidement, le couteau à la main, inoffensif.
Vif, auparavant accroupi au-dessus d’elle, il se leva, la contourna et vint lui taper dessus avec son arme. La force et la direction des coups étaient, heureusement, déviés par l’eau. La jeune demie-elfe (j’ai omis de préciser que ses pouvoirs lui permettent de rester sèche sous l’eau ce qui peut être un avantage aussi bien qu’un inconvénient) venait de s’emparer à son tour de ses lames. Elle défit ses liens en un clignement de cil, bondit hors de sa bulle qui explosa en plusieurs milliers de gouttes et se jeta sur son adversaire arrosé. Elle fût tout d’abord surprise de sa vivacité de mouvement. Malgré cela, elle envoya une série de lames dans sa direction, toutes évitées avec souplesse et dextérité. Elle se saisit de son épée, que l’homme avait caché à quelques mètres d’eux durant son sommeil, et s’ensuivit un combat au corps à corps.
Elle virevoltait, enchaînant bottes, parades, ripostes, attaques en tous genre, son épée flamboyant dans la douceur de l’aube.
Son adversaire paraît avec un couteau à chaque main, et faillit plus d’une fois lui érafler le bras ou l’épaule.
Mais Naïa, concentrée, ne fléchissait pas, et prenait au fur et à mesure, tout doucement, l’avantage. Le fou commença à reculer, Naïa à fatiguer, bien qu’elle n’en laissât rien voir.
Soudain, d’un grand coup d’épée, elle arracha une des lames que tenait l’homme dans une de ses mains. Elle profita ensuite de son temps de réaction pour sortir sa dague de sa main libre, et tout en continuant les mêmes gestes avec son épée, tenta de le blesser à la poitrine.
Après s’être ressaisit l’homme parvint à lui toucher la cuisse, d’où un filet de sang s’échappa.
Sans céder à la douleur, Naïa riposta, et parvint, après milles efforts et exténuée, à lui rentrer sa dague dans le torse.
Puis elle recula, impassible.
Elle attendit que l’homme s’affaisse pour retirer de son corps son arme rouge.
Les yeux du fou roulèrent dans leurs orbites, et ce fût fini.
Naïa tomba à son tour, et perdit connaissance avant d’avoir toucher le sol.
Ses cheveux étaient poisseux de sang, sa cuisse enflée, son campement sans dessus-dessous, un homme mort à ses côtés.

écoute... mmh bah pour moi ça vaut un

Check!!!!

Yooouuupi !!

Merci !!

Je suis d'accord avec Mei.
Encore bienvenue !

Est-ce que ma présentation est terminée maintenant

parfaitement, je l'archive.